Migration irrégulière : La commune de Niamone mise sur l’agriculture pour endiguer le fléau

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La commune de Niamone, dans le département de Bignona, veut développer une agriculture intensive pour lutter contre l’immigration clandestine. L’objectif, c’est de faire un village, une vallée, une ASC, un champ. Dans ce dessein, 270 ha de vallées sont déjà exploités et le maire de Niamone ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il pense à l’exploitation du barrage d’Affiniam.  
 
« La commune Niamone multiplie les initiatives pour lutter contre l’immigration clandestine. C’est en ce sens que la municipalité a lancé des projets agricoles dans tous les villages de la commune. Une grande première dans cette zone du département de Bignona qui a un fort potentiel agricole », déclare  le maire Atab Badji qui se félicite de cette première expérience.

« Aujourd’hui, dans chaque vallée, la récolte dépasse notre attente. C’est ce qu’on cherchait. Tout ce qu’on est en train de récolter aujourd’hui reviendra à la population. C’est pour permettre aux populations, surtout les jeunes, de ne plus prendre le bateau pour aller chercher ailleurs un mieux-être, alors qu’ils peuvent le trouver chez eux. Et pourquoi ne pas devenir millionnaires chez eux à travers la terre ? », dit-il.

La commune de Niamone, dans le département de Bignona, veut développer une agriculture intensive pour lutter contre l’immigration clandestine. L’objectif, c’est de faire un village, une vallée, une ASC, un champ. Dans ce dessein, 270 ha de vallées sont déjà exploités et le maire de Niamone ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il pense à l’exploitation du barrage d’Affiniam.  
 
« La commune Niamone multiplie les initiatives pour lutter contre l’immigration clandestine. C’est en ce sens que la municipalité a lancé des projets agricoles dans tous les villages de la commune. Une grande première dans cette zone du département de Bignona qui a un fort potentiel agricole », déclare  le maire Atab Badji qui se félicite de cette première expérience.

« Aujourd’hui, dans chaque vallée, la récolte dépasse notre attente. C’est ce qu’on cherchait. Tout ce qu’on est en train de récolter aujourd’hui reviendra à la population. C’est pour permettre aux populations, surtout les jeunes, de ne plus prendre le bateau pour aller chercher ailleurs un mieux-être, alors qu’ils peuvent le trouver chez eux. Et pourquoi ne pas devenir millionnaires chez eux à travers la terre ? », dit-il.
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