
L’honorable député dit «n’avoir jamais été d’accord avec ce procédé. Ce qui m’a d’ailleurs valu une garde à vue en 2018». Il pense qu’«une réforme impérative s’impose, à l’issue de cette élection présidentielle, afin de restaurer l’équité et la confiance dans notre processus démocratique».
Aux yeux de TAS, «les institutions de notre pays sont affaiblies. La République est presque à terre. Les citoyens sont désespérés par les micmacs du régime. Les candidats de l’opposition, qui sont sortis de ce système de parrainage, doivent endiguer, en février, la décadence».
Dans ce dessein, il propose «la mise en place d’un cadre de l’opposition pour la reconstruction nationale», avec «une charte commune de gouvernance démocratique, signée solennellement devant nos concitoyens».
Selon le candidat à la Présidentielle 2024, «le mot d’ordre, pour cette élection présidentielle doit être : à bas la mauvaise gouvernance !» Et qu’«il est temps de réenchanter le Sénégal».