Les rideaux tombent ce lundi sur le Pèlerinage Marial de Poponguine. L’homosexualité, les enfants de la rue, les violences faites aux femmes, sont, entre autres, les sujets dominants dimanche de la messe de 22h de l’Evêque de Thiès.
Dans l’homélie, l’évêque du diocèse de Thiès a été clair et net pour ces mariages sans amour, « un amour fidèle et non pas passager comme un sentiment qui va et qui vient, selon les humeurs provisoires, », a-t-il sur la Rfm.
« La culture de l’amour est aux antipodes de ce que le Pape François appelle la culture du provisoire où les personnes passent d’une relation affective à une autre (très nombreux du reste) où les personnes passent d’une relation affective à une autre.
« Ils croient que l’amour, comme dans les réseaux sociaux, peut se connecter et se déconnecter au gré du consommateur, y compris se bloquer rapidement. Il n’y a pas lieu d’avoir peur de s’engager dans le mariage chers jeunes et de fonder une famille.
« Bien au contraire, on doit y aspirer, si on s’y sent appelé. Comment ne pas s’indigner devant le rythme des divorces. Aussitôt marié, aussitôt divorcé. comment ne pas déplorer aujourd’hui le phénomène presque ordinaire des filles mères abandonnées à leur sort, du laxisme sexuel, des unions de fait sans engagement sérieux ou sans sacrement du peu de considération de la fidélité de l’unité et de l’exclusivité du mariage.
« Et plus gravement encore, de ceux et celles qui désacralisent le lien sacré par des unions homosexuelles : Nit dal day am bene tourr nguir niou kham linga donn (littéralement, « on doit s’identifier d’un seul nom).