L’anarchiste Ousmane Sonko, a encore parlé, infestant des stipulations labyrinthiques, épiant des forfaitures à faire endosser à tierce personne.
La panique l’envahit. Il ne faut ni en rire ni s’en glorifier. C’est une panique normale et même responsable.
Quand, dans la jungle, on perçoit le rugissement de lions, de panthères, de tigres et de léopards, il est normal que « le lion qui dort » au giron de hyènes et de chacals et que tous les félins nigauds, paniquent et se mettent aux aguêts.
Seulement, jamais le camp de Pastef n’est aussi affaibli par des défections et par une série de bourdes et de forfaitures. Naturellement, avant que le sifflet ne soit donné, hurlements, tumultes, vociférations et gémissements se font entendre.
Dans son speech, Ousmane Sonko fait tomber le masque d’un camp paniqué jusqu’à perdre la pertinence. Son discours est fait répliques pusillanimes, anxieuses et timorées, qui ne font malheureusement que consolider l’esprit craintif du leader de Pastef, qui ne cache pas non plus ses inquiétudes.
Oui, il a peur ! Il sait que les carottes sont cuites pour lui. C’est la fin de la recréation. Force restera à la Loi, et c’est la raison pour laquelle ce tartarin répondra de ses actes auprès des juridictions de notre pays.
Quand vous répondez au tribunal avec une meute pour semer le trouble à l’ordre public, l’Etat a la légalité, la légitimité et l’obligation de vous l’empêcher. Les dés sont jetés.
Il répondra de ses actes, quoi qu’il en coûte. Et il le sait. Ses soutiens déterminés à mettre en péril notre pays et dont il sert les intérêts, sont avertis.
Mouhamed Lamine Massaly
PCA DE L’ONFP