La Mondialisation est un processus planétaire qui dicte à l’ensemble des citoyens du monde une manière d’être et d’agir, de voir et de concevoir. Les frontières sont tombées à cause du Web. Le décloisonnement de l’information se fait sous toutes ses formes.
Ce qui met en duplex le monde réel et le monde virtuel. Ainsi, dans cette manière mondialisée d’agir et de voir, fallait-il s’attendre à ce que le phénomène des LGBT vienne se positionner au cœur de ce processus planétaire !
« L’universel, c’est le local moins les murs «, affirmait l’écrivain portugais Miguel Torga. La mondialisation devient de facto un processus planétaire, impersonnel et sans visage. C’est-à-dire un global où se reconstruisent les murs, les murs grâce auxquels les hommes peuvent rebâtir leur différence et retrouver un centre de gravité.
Dans sa transversalité toute relative, l’environnement virtuel désigne l’ensemble des espaces numériques du cyberespace servant de terminaux de diffusion d’informations ou de prestation de services étendus : Internet, ordinateur, téléphone portable, Fax, photocopieuse, satellite, télévision, caméra, magnétoscope, etc.
Ces différents canaux de diffusion procèdent d’un mode de fonctionnement virtuel dont la spécificité technologique consiste à opérer dans l’éventualité, l’envisageable, la probabilité où la conditionnalité ; alors qu’au sens environnemental du terme, le réel renvoie à ce qui est directement palpable et espacé et qui nous entoure.
Entre ces deux entités congénitalement liées grâce aux progrès de la science, une nette différence saute aux yeux. En effet grâce à la percée technologique s’identifiant dans des espaces communs virtuels tels que le cyberespace; l’environnement physico-virtuel planétaire se voit soumis à ces mêmes espaces nés de la formation d’un langage commun numérique, universel et donc unificateur.
Alors que les peuples et leurs pays se délectent de cette manière d’être et d’agir mondialisé, ceux qui ont crée ce processus par le biais de la percée cyber technologique commencent aujourd’hui à dérouler leur agenda LGBT. Car, ils comprennent dès lors que la mondialisation a atteint son objectif.
Celui de caporaliser le monde et l’habituer à ce nouvel comportement technologique ou technologie comportementale. Le virus de la face hideuse de cette globalisation avait donc comme objectif de prendre au dépourvu les peuples du monde afin de tenter de leur inculquer le phénomène des LGBT.
En tous les cas, c’est ce à quoi l’on assiste aujourd’hui. Ceci démontre à suffisance que loin d’être une dynamique de développement et d’uniformisation des façons d’agir des peuples du monde, la mondialisation apparait aujourd’hui comme une hégémonie de l’hexagone qui voudrait imposer par tous les moyens l’homosexualité, le lesbianisme, la franc-maçonnerie et autres pratiques ignobles dont certains peuples n’accepteront jamais au monde.
Cerise sur le gâteau, d’autres pratiques plus dangereuses encore méconnues des peuples du monde pourraient se cacher dans cette mondialisation. Mais pour l’heure, l’hexagone est en train de lâcher un pan qui est le phénomène des LGBT.
Reçu par le leader de Pastef les Patriotes Ousmane Sonko, Jean-Luc Mélenchon, leader charismatique de la France insoumise a plaidé la cause des LGBT à l’Ucad. Mais fort heureusement, le Premier Ministre, Ousmane Sonko lui a fait savoir que le Sénégal ne saurait être sur cette dynamique qui ne cadre pas d’avec ces valeurs morales, religieuses et culturelles.
Une parade caustique mitoyenne à celle que le Président Macky Sall avait opposé au Président Obama lors de son séjour en terre Sénégalaise à l’époque. Ces lobbies super puissants qui prennent en otage tous les peuples du monde par le truchement du visage de la mondialisation ont en ligne de mire le Sénégal depuis des décennies.
Mais ce pays à la pointe de l’océan atlantique est un havre de valeurs religieuses, morales et culturelles enracinées. Personne au monde ne peut convaincre les Sénégalais de tomber sous le coup de la mondialisation qui insuffle l’agenda des LGBT. C’est irréversible. Diantre !