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L’exécution de la sommation a commencé par la coupure de l’électricité même si celle-ci a été rétablie pour les besoins de l’Assemblée générale d’informations organisée par la Fsjda, ce jeudi, renseigne le journal.
Celui-ci confie toutefois que les fédéraux n’entendent pas quitter les lieux.
Le président Babacar Ngom et son équipe assimilent la mesure à «une catastrophe pour le judo» et bandent les muscles : «Effacer le dojo national, c’est causer du tort à tous les pratiquants parce que tout est parti d’ici avec plusieurs cadres du judo africain voire mondial. Plus qu’un bâtiment, c’est tout symbole qui risque de partir.»
Le ministre des Sports, Lat Diop, est interpellé, pour «trouver une solution». Les fédéraux écartent déjà toute idée de délocalisation à Diamniadio.