
Pour Bruno Daroux, chroniquer international à France 24, une réaction négative de Macky Sall à cette décision du Conseil constitutionnel pourrait rendre la crise beaucoup plus grave. « La question la plus importante est quelle va être la réaction du président Macky Sall. Il avait dit qui aviserait sur les termes d’une décision du Conseil constitutionnel. S’il accepte, on va vers des élections au courant du mois de mars, mais s’il conteste cette décision, on entre là dans une nouvelle phase encore inconnue dans la démocratie au Sénégal. Plus que jamais, la balle est dans le camp du président Macky Sall », a déclaré l’analyste.