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Leurs actes de violence sont d’autant plus incompréhensibles que les journalistes ont arboré leur gilet avec la mention presse.
D’ailleurs, il précise que c’est pour que des actes de cette nature ne se reproduisent plus que : « nous avons l’obligation de défendre la démocratie et nous allons la défendre, il en est de même pour la liberté d’expression « .
La protection des hommes des médias incombe aux autorités selon Birahim Seck qui a invité les journalistes à s’unir et à défendre leurs droits pour que la précarité soit éradiquée dans des rédactions.