Kabirou Mbodji, mis en examen pour viols présumés en France, a accordé un entretien exclusif à Jeuneafrique. Le fondateur de Wari qui se dit « victime d’un complot » a raconté à nos confrères la soirée du 6 au 7 octobre où, pour lui, tout a basculé.
Reçues dans son domicile…
« Cela pourrait arriver à n’importe qui…« , a fait savoir Kabirou Mbodji qui dit se sentir « piégé ». Car selon les dires, le Franco-sénégalais aurait agressé, sexuellement 3 femme au cours de la même nuit.
En effet, l’homme âgé de 58 ans admet, tout de même avoir reçu chez lui trois des plaignantes : deux Marocaines, l’une âgée de 39 ans, l’autre d’une vingtaine d’années, ainsi qu’une Nigériane, la vingtaine également.
Toutefois, Kabirou Mbodji nie les accusations de viols et même d’avoir entretenu des relations sexuelles avec les présumées victimes.
Une « victime »…
« Je n’ai jamais été seul avec elles. L’ami qui me les a présentées est parti alors que les deux premières avaient déjà quitté l’appartement. Quant à mon amie russe, elle a dormi chez moi (…) Ce complot me cause énormément de tort. J’espère que l’enquête le démontrera : je suis un homme honnête, sans histoire et qui ne fait du tort à personne. Je suis une victime« , dénonce-t-il.
